Walighürli, en remplacement du Vanil Blanc (1823 m)

Malgré les récentes chutes de neige, l’enneigement du Vanil Blanc est insuffisant et le risque d’avalanche élevé. Le choix se porte sur une valeur sûre – dans tous les sens du terme – le Walighürli
12 participants se retrouvent à Feutersoy par un temps splendide et sans vent. La température est fraîche, mais le ressenti agréable. Après avoir suivi un moment la route, nous empruntons les chemins de randonnée qui  coupent les lacets de la route jusqu’à Tuxberg. A partir de là, nous progresserons dans les alpages, au bruit insistant des hélicoptères qui déposent les skieurs sur le sommet.
Nous arrivons dans des espaces ensoleillés après deux heures de montée, l’occasion d’une agréable pause. Le sommet est déjà en vue, mais il faudra d’abord dominer une série de conversions. La visibilité est excellente et nous permet d’admirer le panorama à 360°, mais un petit vent frais nous incite à reporter le pique-nique à plus tard. Malgré le passage de nombreux skieurs, il reste encore bien des espaces vierges de traces où nous pouvons marquer notre empreinte. Un petit replat ensoleillé nous accueille pour un paisible pique-nique avant de rechausser les skis pour descendre jusqu’aux voitures dans de très bonnes conditions.
Le plus difficile sera de trouver un bistrot, et il nous faudra aller jusqu’aux Diablerets pour trouver un établissement ouvert. Merci à Didier qui nous offre les consommations à l’occasion de son proche anniversaire