Via ferrata

Via Ferrata Farinetta

18 septembre 2020

Assez difficile, la via ferrata Farinetta de Saillon commence par un pont de singe, puis grimpe une superbe paroi. Sous l’experte direction de Peter, elle ne devrait pas nous poser de problème insurmontable, du moins dans les deux premiers secteurs, et nous ne nous lancerons pas dans le troisième, promis !!!

Citons le site Internet viaferrata.com :
Ça commence assez fort avec un pont népalais très aérien qui branle pas mal. Cerise sur le gâteau, tu dois changer tes longes 3 fois durant la traversée. Si là, tu coinces, c’est un signe de ne pas y aller.
La montée est très belle dans une ambiance gazière et le murmure de la rivière qui se fraie un chemin dans la gorge. Tu vas avoir droit à un deuxième pont népalais. Ça monte ensuite de manière assez raide et tu t’approches d’une cascade. En été, tu passes en partie dedans et tu te fais bien rincer. Tu arrives à une première échappatoire.
La deuxième partie commence par un passage assez soutenu pour les bras avec un léger dévers. C’est assez physique mais tu peux te reposer dans une grotte qui passe sous la passerelle à Farinet. Ensuite tu continues à monter, ça devient de plus en plus physique et tu trouves une échappatoire.

Nous prenons donc cette deuxième possibilité de ne pas aller jusqu’en haut 🙂 ! et redescendons tranquillement à Saillon.

25 septembre 2020

07:30 parking Reller ou programmé

PROGRAMME:

Arrivée sur place vers 8h45. 25 minutes de marche d’approche, puis une heure et demie ou deux heures d’escalade. 50 minutes pour revenir aux voitures.

PRIX:

18 Fr

Matériel:

Baudrier avec mousquetons, casque, longe, gants

Parcours 820 m
Montée 335 m

Peter Bugmann
tél: 021 921 0695
mobile: 079 554 6903
email: [email protected]

14 septembre 2020

COUP D'OEIL

Grand beau temps et température agréable pour les 4 participants à l’assaut de cette Via Farinetta.

Après un début qui ressemble plus à un mauvais sentier, on arrive à un long pont de singe, passablement mobile. Obstacle brillamment surmonté. La suite ne présente pas de difficulté majeure, la voie étant très bien équipée avec les fers qui viennent naturellement sous les mains. La progression se fait au bruit du torrent de la Salentze en-dessous. Nous arrivons à la fin de la première section, sur l’extrémité d’une route permettant l’entretien du bisse de la Gure. Il y a un banc et c’est l’occasion de se désaltérer. Nous attaquons la seconde partie, annoncée plus technique et plus difficile. Légers dévers par moment, et il faut plus tirer sur les bras. Nous rejoignons un court instant les galeries du bisse. À la hauteur de la colombe d’Erni, nous prenons prudemment l’échappatoire, fin de la seconde section.
Nous traversons ensuite la passerelle pour pique-niquer sur une place de pique-nique bien équipée à l’extrémité. Puis descente à travers les vignes jusqu’au vieux village de Saillon pour des panachés bien mérités.